Myriam de Maigret

Hypnose & Thérapie brève Ferrières en Brie 77


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Art et thérapie – Pour qui ?

L’art-thérapie est une thérapie par médiation artistique, c’est-à-dire qu’elle est un soin par l’approche créative. Elle met les patients en situations de création même si aucun talent artistique ne leur est demandé au préalable.

L’art-thérapeute, qui a, lui, une connaissance et une pratique artistique personnelles, utilise une médiation ou plusieurs parmi lesquelles on peut citer les arts plastiques, la danse, la musique, le chant, le cinéma, la vidéo, le théâtre, l’écriture, le conte, les tags …

L’objectif de la médiation artistique est de créer du lien et du sens en renouant avec la communication non-verbale et verbale mais aussi en structurant la pensée, le discours, les comportements.  Il est aussi de « renarcissiser » la personne, c’est-à-dire d’améliorer son image de soi.

Les personnes âgées, les personnes handicapées, les enfants et les adolescents sont particulièrement sensibles aux bienfaits de l’art-thérapie, mais l’art-thérapie concerne tous les âges. Elle peut particulièrement être indiquée aux personnes qui ont des difficultés à :

  • S’exprimer et communiquer verbalement avec les autres
  • Organiser et structurer leur pensée
  • Relier leurs paroles, leurs mots à leurs ressenti, leurs émotions, à leur corps

 


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Apprendre à respirer

Entendues à la maison, à l’école, à l’armée, les injonctions du type “rentre le ventre, tiens toi droit, gonfle la poitrine” sont encore dans toutes les mémoires et ont fait de nous des insuffisants respiratoires !

Or la respiration est au centre de notre bien-être. Les yogis le savent depuis des millénaires. Grâce à l’imagerie par résonance magnétique (IRM), les scientifiques commencent à le démontrer aujourd’hui : la sérénité du corps et du cœur passe par la respiration : une respiration abdominale, lent, profonde, et en toute conscience.

Bien respirer ne va pas de soi. Car si nous sommes biologiquement équipés pour une respiration optimale, nous sommes aussi faits de pensées et d’affects… « Notre respiration est directement liée à nos émotions, explique Lionel Coudron, médecin du sport et directeur de l’Institut de yoga-thérapie, à Paris. Dès que celles-ci nous perturbent, elle se modifie. Si nous maintenons une fréquence respiratoire rapide, correspondant à un état de stress ou d’anxiété, nous prolongeons cette émotion. Comme nous sommes les seuls êtres vivants à pouvoir agir sur la fréquence et l’amplitude de notre respiration, la première chose à faire est d’abaisser sa fréquence respiratoire pour faire baisser le stress. La fréquence moyenne est de quinze respirations par minute. Chez des personnes plongées dans un état méditatif, elle descend à six ! »

Dans le cadre de la gestion émotionnelle, l’important est de constater cette relation est bilatérale : la vie psychique influe sur la respiration. La respiration influe sur la vie psychique.  Bien respirer est le moyen le plus simple et le plus naturel de gérer nos émotions et d’apaiser rapidement notre corps et notre esprit.

Inspirez, expirez … profondément, et pas trop vite

Il est important de ne pas changer du tout au tout sa respiration du jour au lendemain.  Mieux vaut d’abord prendre bien conscience de la façon dont on respire.

La poitrine doit se dilater dans toutes les directions. De manière idéale, la respiration doit être initialement abdominale (la dilatation abdominale permettant la descente du diaphragme), puis thoracique basse et enfin thoracique haute. La sensation respiratoire doit se dérouler ainsi : ventre, thorax et épaules. C’est donc essentiellement sur la prise de conscience et sur le travail de la zone abdominale que vous allez axer vos efforts.

Les bienfaits d’une bonne respiration sont multiples :  meilleur fonctionnement des muscles respiratoires, meilleure oxygénation, massage des viscères, stimulation de tous les organes abdominaux qui favorise leur bon fonctionnement, digestion facilitée, évacuation des déchets plus aisée.

Comment ?

Allongé sur le dos ou assis une main sur l’abdomen, ou debout les mains sur les hanches,  de façon à bien sentir le mouvement de piston du diaphragme. Dos bien droit et souple, le ventre doit être libéré (ouvrir boutons et ceinture), les épaules ne doivent pas monter.

Prenez conscience de votre respiration

En prendre conscience, c’est sentir que

  • pendant l’inspiration, le diaphragme se déplace de haut en bas, la pression exercée sur les viscères écrasent celles-ci, ce qui provoque le gonflement du ventre,  les côtes s’écartent, le bas des poumons se remplit d’air
  • puis le niveau de l’air monte dans les poumons, entraînant le soulèvement de la cage thoracique jusqu’au niveau claviculaire
  • à l’expiration, le diaphragme remonte, donc le ventre s’aplatit, les poumons se vidant d’air, la cage thoracique s’abaisse, le nombril va pousser contre la colonne

Visualisez !

Une fois bien installé, posé, on respire, par le nez, en ouvrant sa poitrine, en prenant conscience de l’air frais à l’inspiration, et de l’air chaud à l’expiration, que l’on fait durer le plus longtemps possible, sans forcer. On peut aussi utiliser des couleurs pour symboliser l’air pur qui rentre et nettoie l’organisme, toutes nos cellules qui font le plein d’énergie, et l’air vicié entrainat avec lui les toxines, purifiant notre organisme, le bruit de l’air qui entre dans les narines, le souffle qui siffle, le plein, le vide, la sensation de détente, de ré-harmonie …

Prenez votre temps

Si nous ventilons bien, c’est-à-dire que nous respirons un volume d’air suffisant, nous avons en revanche tendance à respirer trop vite : veillez à ce que l’expiration soit plus longue que l’inspiration.

Ce travail sur l’allongement de la respiration est au cœur des pratiques du yoga, du Thai chi, de la méthode Pilates, de la sophrologie, et depuis trente ans en expérimentations scientifiques avec des cardiologues. « L’inspiration dynamise l’organisme et l’expiration l’apaise. Or, pour la majorité des gens, bien respirer c’est prendre une grande inspiration sans s’occuper de l’expiration. Pour une respiration optimale, le dos est droit mais pas raide, il doit respecter les courbures naturelles de la nuque et des reins.

« L’expiration est essentielle, car elle chasse les toxines de notre corps, renchérit Lionel Coudron. Elle a également un effet antalgique. Sauf si l’on respire trop vite : dans ce cas, l’échappement trop rapide des gaz carboniques augmente l’acidité dans le sang et provoque des contractures au niveau des muscles. » Une bonne respiration mérite donc qu’on lui consacre quelques minutes par jour. Une contrainte tout à fait relative lorsque l’on prend conscience de ses multiples effets sur notre bien-être physique et émotionnel.

Bébés, nous avons tous commencé par respirer par l’abdomen, pratiquant ainsi spontanément la méthode enseignée dans les grandes traditions méditatives et yogiques. Mais à l’âge adulte, nous respirons presque tous par le thorax plutôt que par l’abdomen, ce qui provoque tensions et anxiété. L’oxygène de la  partie inférieure des poumons n’étant pas remplacé, donc laissant le sang chargé de toxines.

La respiration abdominale permet de remédier à celà en permettant de controler la respiration. Posée, délibérée, régulière, elle entraîne la paix et le repos de l’esprit. La réguler est l’une des clés du mieux être.

Exercice

Michèle Freud propose ici un exercice pour apprendre à respirer avec le ventre (extrait de ” Réconcilier l’âme et le corps, 40 exercices faciles de sophrologie” :

Trouver l’endroit qui vous convient le mieux. Débranchez téléphones, sonneries diverses, prévenez votre entourage, s’il est là, que vous avez besoin de votre moment à vous. Mettez-vous à l?aise, pas de ceinture qui serre. Si vous avez froid, garder une couverture sur vous. Debout, assis ou allongé, appliquez votre main sur votre abdomen, écoutez votre souffle. Votre respiration est-elle haute ? c’est-à-dire haletante et donc thoracique ? Saccadée ? Superficielle ? Laissez aller et venir votre respiration pendant quelques instants en la laissant devenir de plus en plus abdominale : vous devez sentir votre ventre se soulever et s’abaisser au rythme de la respiration. Puis expirez par le nez ou par la bouche en chassant le plus d’air possible et en poussant votre nombril vers les lombaires. Puis inspirez doucement l’air par le nez en gonflant le ventre comme un petit ballon.

Expirez doucement l’air par la bouche, en abaissant le ventre comme pour le rentrer à l’intérieur de votre corps.

Vivez chaque expiration comme une sensation de libération, de détente. La phase d’expiration est plus lente, plus longue que l’inspiration. Marquez une petite pause et laisser l’air circuler librement à présent, selon son envie et recommencez l’exercice de temps en temps.

Entraînez-vous à pratiquer souvent deux ou trois courtes séances de respirations abdominales dans la journée.

 

à pratiquer couché, assis, debout à n’importe quelle heure de la journée dès qu’on peut s’octroyer 5 petites minutes à soi, au travail, dans les transports, après le repas, au coucher ou au lever, ou dans la nuit lorsque le sommeil se fait attendre…

http://youtu.be/HiT621PrrO0

 

Quelques liens :

http://lesclefsdutoucher.free.fr/alire_70_recettes.htm

http://www.etre-bien-au-travail.fr/sante-et-travail/fiches-pratiques/7-exercices-de-respiration-pour-apaiser-ses-tensions-retrouver-force-et-concentration

http://www.liguepulmonaire.ch/fr/themes-principaux/respirer-correctement/exercices-respiratoires.html

 

 


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Fonctionnement de l’hypnose

“Gardez les pieds sur terre, mais laissez votre cœur s’élancer aussi haut qu’il le désire.” 
Wilson Tozer.

Les principes de l’hypnose moderne : le premier d’entre eux est le volontariat du patient.

En effet, toute personne ne voulant pas être hypnotisée ne pourra pas l’être. Le cerveau de toute personne agit comme s’il existait une protection de son intégrité physique et mentale qui n’aboutira pas à un état hypnotique si la personne ne le veut pas.

L ‘ état hypnotique est une modification de l’état de conscience qui survient après focalisation (ou hyperconcentration) du patient sur un élément matériel ou immatériel. Cet état du patient est atteint d’autant plus facilement que le patient présente une forte hypnotisabilité. Celle-ci repose sur la suggestibilité du patient. La suggestibilité est liée à l’apprentissage et, par conséquent, elle peut être amplifiée séance après séance (Arcas 1997).

Second principe : la réalité interne, c’est un élément important de l’hypnose. Elle est générée par l’imaginaire du patient. Celui-ci se fabrique un univers interne qui prend le pas sur le monde extérieur et génère l’état hypnotique. La thérapie commence alors, s’appuyant sur des suggestions directes ou indirectes, voire des métaphores (Stern 1991).

Le processus de l’hypnothérapie peut se comprendre par le biais de l’image d’une pelote de laine emmêlée.

En effet, l’esprit d’un patient qui consulte un hypnothérapeute pour un problème peut se comparer à cette pelote de laine emmêlée. L’état hypnotique a pour but de démêler la pelote. Les suggestions, techniques hypnotiques et PNL et les métaphores du thérapeutes, adaptées au patient et à sa problématique, lui permettront de trouver les solutions à mettre en place et ancrer le changement positif, pour un fonctionnement au quotidien.

La thérapie doit permettre au patient de rembobiner la pelote selon son propre schéma.

 


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Hypnose et anesthésie

Les premières applications médicales de l’hypnose remontent au 18e siècle et à Mesmer. Il aura cependant fallu attendre la fin du 20e siècle pour que celle-ci soit utilisée en routine afin de procurer une anesthésie au cours d’interventions douloureuses. C’est notamment en faisant appel à de nouvelles techniques d’imagerie que l’hypnose a pu s’imposer petit à petit dans les milieux scientifiques et universitaires. En effet, dès 1997, des études réalisées à l’aide de TEP (tomographie à émission de positons) et d’IRMf (imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle) ont mis en évidence des différences d’activation de diverses régions du cerveau entre l’état normal et l’état hypnotique.

 

POINTS ESSENTIELS
• L’hypnose est un état de conscience modifié, différent de la veille et du sommeil.
• Durant cet état de conscience particulier, une importante augmentation du débit sanguin est observée dans les cortex occipital (vision), pariétal, précentral (mouvement), préfrontal et cingulaire (élaboration de l’image mentale et effort d’attention nécessaire pour générer cette image mentale). C’est ainsi que le patient en état d’hypnose est acteur et observateur de ce qu’il vit.
Donc, l’hypnose peut être considérée comme un processus de conscience particulier où le sujet, qui semble somnolent, expérimente une imagerie mentale vivace, cohérente et multimodale. Cette imagerie envahit la conscience du sujet.
• L’état hypnotique est associé à une diminution de la perception douloureuse due à une augmentation de la modulation fonctionnelle entre le cortex cingulaire antérieur et un large réseau neuronal de structures corticales et sous-corticales impliquées dans les différentes composantes de la douleur.
• Utilisée en préopératoire, l’hypnose réduit l’anxiété ainsi que les nausées, les vomissements et les douleurs postopératoires.
• L’hypnose peropératoire peut être associée à une sédation consciente intraveineuse et à une anesthésie locale pour permettre la réalisation d’interventions douloureuses. Le terme d’hypnosédation est alors employé. Par rapport à l’anesthésie générale, l’hypnosédation réduit le niveau d’anxiété, les douleurs, nausées et vomissements postopératoires et permet une reprise plus précoce des activités professionnelles.
• L’hypnosédation peut être pratiquée en chirurgie plastique, mammaire, cervico-faciale, ORL, abdominale, en radiothérapie, etc.
• Les contre-indications à intervention sous hypnosédation sont les difficultés de communication (patient dément, sourd ou ne parlant pas la langue de l’anesthésiste), ainsi qu’éventuellement, l’allergie aux anesthésiques locaux. Le patient doit également être averti qu’il est possible de recourir à une anesthésie générale en cours d’intervention (moins de 1% des cas).

source : 53 è congrès national d’anesthésie et Médecins 2011, G.Hick


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Qui suis-je ?

Je suis Psycho-Somatothérapeute, hynothérapeute et art-thérapeute.

Je pratique la psychothérapie et l’analyse intégrative, et je suis spécialisée en thérapies brèves, thérapies orientées solution, thérapies cognitivo-comportementales, en hypnothérapie et en art-thérapie.

Etre psychothérapeute est pour moi un accomplissement professionnel après de longues études et la réalisation personnelle d’une vocation si longtemps ajournée.

Mes formations

  • Ingénieur universitaire master en management de l’nformation, maîtrise d’informatique appliquée à la gestion des entreprises
  • Praticien en PNL (Programmation Neuro Linguistique)
  • Praticien en hypnose thérapeutique (hypnose éricksonnienne, Humaniste, hypnose classique, thérapie symbolique)
  • Diplomée de l’EEPSSA (Ecole Européenne de Psychothérapie Socio- et Somato-Analytique (Eepssa), Strasbourg, en tant que Psyco Somatothérapeute et Analyste Intégratif spécialisé en thérapies brèves, TCC, hypnose, Gestalt
  • Art térapeute adulte, enfants, adolescents, pratiquant en institution

Spécialisations :

  • Hypnose
  • Thérapies brèves
  • TCC
  • Hypnose et thérapies cognitivo-comportementales
  • Gestalt thérapie
  • Art thérapie adulte, enfants, adolescents

à venir en 2014

  • Victimologie, Traumatologie, EMDR/EMAR
  • Psychopathologie clinique
  • Thérapies familiales et constellations

 

Formation EEPSSA :

Psychothérapie et Analyse Intégrative

L’intégration méthodique et scientifique des courants validés :

  • cognitivo-comportementaux,
  • stratégico-systémiques,
  • somatothérapiques-somatanalytiques,
  • humanistes-transpersonnels
  • et psychanalytiques.
  • 1er  cycle : les thérapies courtes
  • 2ème cycle : les psychothérapies d’un à deux ans
  • 3ème cycle : la cure psychanalytique et somatanalytique

Le contenu de a formation

Premier cycle : les psychothérapies courtes

centrées sur les symptômes et les problèmes actuels.

Indications privilégiées méthodes enseignées
anxiété, phobie, obsession thérapie comportementale :désensibilisation progressive,affirmation de soi
dépression thérapie cognitive (de Beck)
stress, somatisation, conversion relaxationhypnose profonde
bloc, inhibition de l’action, normose hypnose éricksonienne, thérapie stratégique
troubles post traumatiques EMAR, eye movement acting reichien
troubles sexuelstroubles conjugaux sexothérapieconjugo thérapie
blocage corporelspasmophilie, troubles respiratoires,trouble de l’expression, somatothérapiesposition de l’arc,  (bioénergie)travail de la voix,
intériorisation et visualisation Présence Juste, artthérapie, rebirth
problème actuel thérapie centrée sur le problème,sur la solution, l’écoute selon Rogersrésolution de problème
communication non violente

Enseignement : symptômes névrotiques, symptômes fonctionnels, troubles du comportement, des cognitions et des relations, l’organisation d’une thérapie courte.

Deuxième cycle : les psychothérapies de durée moyenne

pour les troubles de la personnalité et les conflits centraux

Les indications privilégiées Les méthodes enseignées
Les deux manuels de classification, DSM IV et CIM 10, différencient quinze troubles principaux  de la personnalité qui se rangent en deux groupes, l’un en stress et clivage (refoulement, répression, dissociation) avec une structure rigide, l’autre en choc et amalgame avec une exacerbation des processus sensitifs, émotionnels et affectifs (jusqu’à l’anxiété, la dépression et la confusion) Caractéroses en clivage :(passive-agressive) schizoïde, schizotypique, borderline, hystirionique, psychopathe, paranoïaque, posttraumatique. Caractéroses en amalgame :(dépressive) narcissique, impulsive, obsessionnelle compulsive, évitante, dépendante, posttraumatique. Conflits centraux majeurs conflit libido-réalité (Freud),conflit imaginaire-réel-symbolique (Lacan),gestalt inachevée (Perls),postulat inconditionnel négatif (Beck),réflexe orgastique “cuirassé” (Reich),chaos transitionnel (Setti),entraînement à la Présence Juste, psycho-, socio-et/ou somato-logique (Meyer),ouverture à l’expérience plénière (Meyer). A ce niveau de durée et de complexité, les méthodes se différencient plus parla mise en œuvre du psychothérapeute (insistant sur le dé-clivage ou le dés-amalgamage) que par leur protocole qui reste assez souple. Nous ne donnerons donc qu’une liste des méthodes enseignées :psychothérapie d’inspiration analytique dite “brève”, freudienne et jungienne,anxiety provoking psychotherapy (Sifneos)somato-psychothérapie reichienne et bioénergétique,psychothérapie d’inspiration somatanalytique en individuel et/ou en groupe,psychothérapie cognitive “longue”,Schémathérapie de Youngmusic-art- et somato- thérapie,Présence Juste, deuxième et troisième cycles.somatanalyse des caractéroses limitethérapie existentielle et phénoménologique

Enseignement :  les 15 troubles de la personnalité, les névroses, les intervalles libres dans  les psychoses, transgression, perversion et addiction,

l’organisation d’une psychothérapie de durée moyenne.

Troisième cycle : les analyses longues

Indications privilégiées Les méthodes enseignées
La complexité des situations personnelles est telle ici qu’il n’est pas possible de la réduire à quelques concepts isolés.Retenons seulement que cette psychopathologie est de deux ordres et requiert :

  •   soit un accompagnement de longue durée pour les pathologies psychotiques,
  •   soit un cheminement en trois étapes pour les névroses graves :
  •   remise en question de la structure de personnalité inadéquate,
  •   accès aux purs processus  inconscients,
  •   inscription de ces processus en une stabilité constituante.
psychanalyse plénière intégrant les approches freudienne, ferenczienne, jungienne, reichienne, lacanienne,psycho- et somato- analyse (en individuel et groupal),organisation de certaines méthodes dites “moyennes” en durée longue.

Enseignement :  psychopathologie des psychoses, les troubles chroniques graves, les psychonévroses,  l’organisation du travail analytique : transfert, contre-transfert.

 

Précisions sur http://www.eepssa.org


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Charte et déontologie

En tant qu’école de formation de Psychothérapeutes et de Psycho- et Socio-Somatothérapeutes, l’Eepssa a signé la « Déclaration de Strasbourg » de l’EAP ( European Association for Psychotherapy) et de la FF2P( Fédération Française de Psychothérapie et de Psychanalyse) dont elle est membre fondateur.

FF2P-AEP

Fondatrice également de la FF2S ( Fédération Française de Somato-Psychothérapie et de Somatothérapie), L’Eepssa se réfère à son code éthique dont voici le contenu.


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code de déontologie (code)

CODE DE DÉONTOLOGIE DE L’ASSOCIATION INTERNATIONALE DE SOMATOTHÉRAPIE (AIS)

proposé par Hans Krens et traduit de l’allemand par Richard Meyer

PRÉAMBULE

Au coeur de la somato-psychothérapie se situe l’être humain dans son unité, son unicité et ses capacités de développement. Le somato-psychothérapeute part du principe que le corps, I’âme et l’esprit constituent une unité et qu’il promeut et soutient ses modes de manifestation et d’expression.

Les processus de croissance initiés par là suivent une dynamique individuelle de différenciation et d’intégration dans le sens d’une complexité croissante corporelle aussi bien que psychique. Il est dudevoir du somato-psychothérapeute de reconnaître cette dynamique, de la suivre et de soutenir son expression. L’autre but consiste tout autant à relier le processus de développement de l’individu avec l’organisation de son environnement social (famille, profession, société).

Le somato-psychothérapeute s’impose le devoir d’agir dans l’exercice de sa profession avec le maximum de science et de conscience et de se comporter de façon adaptée vis-à-vis de la confiance qu’on lui témoigne.

Il doit être constamment conscient de la responsabilité qui découle du fait que son activité est propre à influencer de façon précise la vie des autres. Le somatopsychothérapeute reconnaît le droit del’individu de vivre sous sa propre responsabilité et selon ses propres convictions. Il est vigilant vis-à-vis des influences et facteurs personnels, sociaux, institutionnels, économiques et politiques qui pourraient mener au mésusage ou à la mauvaise utilisation de ses connaissances et capacités. Le code de déontologie sert de fondement et d’orientation dans les rapports du somato psychothérapeute avec ses clients, collègues et institutions. Il concrétise les champs potentiels de conflit dans les relations thérapeutiques et collégiales.

TITULARISATION ET CHAMPS PROFESSIONNELS

Le présent code de déontologie s’impose à tout membre de l’Association Internationale de Somatothérapie (AIS).

Tout membre de l’AIS a le droit d’utiliser le titre de somatothérapeute ou de somato-psychothérapeute s’il répond aux

critères de titularisation.

Le Somato-psychothérapeute est libre de travailler sous ce titre ou sous,d’autres, par lui acquis.

Le Somato-psychothérapeute peut être actif dans les domaines suivants : thérapie, conseil, analyse et développement personnel, prévention et promotion de la santé, training, formations de base et complémentaire, supervision, science, recherche et enseignement.

Le Somato-psychothérapeute est personnellement responsable de sa conformité avec les réglementations officielles pour l’exercice de ses activités. Plus particulièrement dans le cas où il ne posséderait pas l’habilitation à l’exercice d’une activité thérapeutique, il ne l’exercera pas et le fera savoir au client si cela est nécessaire.

La référence de l’appartenance à l’AIS dans les documents et informations est seulement permise s’il possède le statut de membre régulier.

L’ATTlTUDE VIS-A-VIS DU CLIENT

Respect du rapport de confiance des deux relations thérapeutiques : le somato-psychothérapeute est responsable de la mise en place d’une relation au client soutenante, sécurisante et protectrice.

Pour la relation thérapeutique s’impose plus précisément la nécessité d’une relation de confiance. Aussi lorsque cette relation de confiance n’existe plus, la relation thérapeutique peut être arrêtée à l’initiative de l’un ou l’autre après un entretien de conclusion.

Contact corporel dans la relation thérapeutique: la proximité et le contact corporel entre le somato-psychothérapeute et son client sont des éléments essentiels de la somato-psychothérapie. Ils servent le but thérapeutique et ne découlent que des besoins du client. Du fait de la spécificité de la relation thérapeutique, les rencontres privées entre le somato-psychothérapeute et son client allant dans le sens du processus thérapeutique sont généralement à éviter autant que possible. Toute forme de contact sexuel entre le thérapeute et le client, même si l’initiative vient du client, est interdite tant pendant, qu’après la thérapie pour des raisons éthiques et thérapeutiques. En cas d’inobservance, le thérapeute doit s’en référer au “conseil d’arbitrage” de l’AIS (voir statuts du “conseil d’arbitrage” de l’AIS). Cette règle vaut aussi pour les assistants du somato-psychothérapeute qui interviennent dans les groupes de thérapie, dans le cadre de leur formation.

Conflits de rôles: le somato-psychothérapeute prévient l’éventualité de conflits de rôles qui pèsent sur les deux parties en refusant tout rôle thérapeutique au sein de sa famille, de ses amis ou de l’entourage privé et professionnel proche.

Devoir d’information: le somato-psychothérapeute doit renseigner le client sur le déroulement du traitement. Ce devoir inclut les questions d’honoraires. Dans le cas de traitements thérapeutiques, il doit plus particulièrement évoquer les risques et soins alternatifs en science et conscience.

Documents visuels et sonores: le somato-psychothérapeute ne peut créer des documents visuels et sonores sur les entretiens et traitements, et en faire part à un tiers qu’avec l’accord préalable et écrit du client. Cela est aussi valable pour les entretiens téléphoniques. Cette règle ne s’applique pas dans le cadre de la supervision du processus thérapeutique par un superviseur agréé ou en intervision.

Autres obligations de prudence:

le somato-psychothérapeute s’informe préalablement à la cure si le client se trouve dans une thérapie en cours et s’engage à en étudier minutieusement les implications éventuelles; dans le cas d’une symptomatologie physique ou d’une maladie du client, au début ou au décours du traitement, le somato-psychothérapeute souligne le cas échéant la nécessité d’une prise en charge médicale; si le somato-psychothérapeute s’aperçoit que la continuation de la cure n’apporte aucune amélioration au bien-être ou à la santé, ou peut même constituer une menace contre la santé, il doit arrêter la cure; si une interruption prématurée de la thérapie devait entrainer une aggravation de l’état de santé psychique ou physique, le somato-psychothérapeute se soucie de sa continuation dans lalimite de ses possibilités et en accord avec le client.

ATTITUDE ENVERS LES COLLÈGUES ET LES AUTRES GROUPEMENTS PROFESSIONNELS

Comportement collégial :

le somato-psychothérapeute contacte ses collègues de travail avec respect et ne se permet pas de critique non objective de leur exercice professionnel;

le somato-psychothérapeute ne cherche pas par des moyens détournés à évincer ses collègues de leurs champs d’exercice ou de leur subtiliser du travail;

si un somato-psychothérapeute croit qu’un collègue a agi de façon contraire à son rôle, il doit, dans un premier temps, lui en faire la remarque en toute confidentialité;

avant toute mise en route d’une procédure juridique civile ou pénale contre un collègue le somato-psychothérapeute doit d’abord s’adresser au “conseil d’ arbitrage ” et y chercher une solution dans la mesure où ce collègue est membre de l’AIS;

si le somato-psychothérapeute engage un collègue comme employé ou collaborateur associé, il doit lui proposer un contrat adapté à la profession.

Comportement envers les membres d’autres groupes professionnels:

le somato-psychothérapeute se comporte de façon loyale, tolérante et serviable dans la coopération avec les autres groupes professionnels. Il est conscient des limites de son champ de compétences et, en cas de doute, se fait aider par ses collègues pour tous éclaircissements et soutiens. Dans ce domaine, il ne se limite pas à une politique corporatiste. Avec l’accord du client il peut mettre à la disposition du collègue concerné des données de son travail avec le client.

Comportement avec les collaborateurs: 

si le somato-psychothérapeute emploie des collaborateurs et des aides, il doit leur proposer des conditions de travail adaptées et des contrats correspondants aux activités concernées;

les stagiaires en formation et les praticiens, les assistantspar exemple, sont à former suffisamment à leur future profession. Aussi est-il exclu qu’ils ne soient employés qu’à des activités unilatérales ou strictement subalternes;

le somato-psychothérapeute est obligé d’établir à ses collaborateurs, à tout moment et sur demande en particulier à la fin de la relation de travail, un certificat circonstancié.

EXERCICE DE LA PROFESSION EN GROUPE

Des somato-psychothérapeutes peuvent se regrouper pourl’utilisation commune d’installations de locaux professionnels ou pour l’embauche conjointe de collaborateurs. Le contrat de constitution d’un cabinet de groupe ou d’une communauté de praticiens devrait se faire par écrit et inclure plus particulièrement les conditions de partage des charges et revenus, les modalités de changement et de dissolution.

Il s’y impose les règles suivantes:

quelle que soit la forme du regroupement, le client devrait avoir le libre choix du thérapeute,

les documents de la thérapie ne peuvent être passés à l’associé qu’avec l’accord du client,

les clients sont informés dès l’abord que les associés qui ne traitent pas le client ne sont pas inclus dans une responsabilité commune.

Dans la mesure où des somato-psychothérapeutes emploient des collègues comme salariés ou collaborateurs indépendants, ils ne peuvent leur transférer un traitement qu’avec l’assentiment du client.

EXERCICE DE LA PROFESSION EN CABINET PRIVÉ

Intitulés des cabinets de somato-psychothérapeutes:

les cabinets ne doivent pas porter des intitulés qui peuvent évoquer des représentations non conformes. Des intitulés comme “Instituts”, “Centres” ou des intitulés analogues ambitieux ne peuvent étre utilisés que lorsque la prestation personnelle, les lieux et les modes de travail le justifient les descriptifs dans les annuaires téléphoniques et professionnels sont à faire avec retenue et ne sont conformes que s’ils indiquent le nom, le cabinet, les diplômes conformes et les spécialités professionnelles.

Publicité et public:

pour la publicité (par exemple plaque de cabinet, annonces…), le somato-psychothérapeute se conforme aux règles légales qui régissent le domaine de la thérapie. La forme de sa publicité ne doit pas contredire le but de l’AIS qui est d’intégrer la somato-psychothérapie comme forme sérieuse et reconnue de thérapie à l’intérieur du monde de la santé officielle et de la médecine psychosomatique;

les propositions de services que fait la somato-psychothérapie au public doivent se réaliser d’un point de vue objectif, non commercial;

les somato-psychothérapeutes ne peuvent pas transmettre aux clients potentiels des présentations exagérées de l’efficacité de leurs propres services.

TRAITEMENT DES DONNÉES

Secret professionnel:

le somato-psychothérapeute est obligé de garder le silence sur tous les faits qui lui ont été confiés et qu’il a pu apprendre dans l’exercice de sa profession; pour autant que la loi ne prévoit pas des exceptions;

le secret professionnel du somato-psychothérapeute s’impose aussi vis-à-vis des membres de la famille du client et des supérieurs;

quand plusieurs somato-psychothérapeutes ou des somato-thérapeutes et des médecins ou collègues d’autres méthodes conseillent ou soignent le même client en même temps, ils sont relevés du secret professionnel pour autant que le client ne décide pas autre chose; le secret médical tombe aussi avec les aides du somato-psychothérapeute (assistant en thérapie de groupe par exemple) qui sont nécessairement au courant de la préparation ou de l’accompagnement de son activité; le secret professionnel ne subsiste pas avec le superviseur agréé et les collègues qui prennent part au même groupe de super- ou d’intervision; à part cela, le devoir du secret ne tombe que par sa levée par le client; les collaborateurs du somato-psychothérapeute doivent être enseignés quant au devoir du secret et cet enseignement doit être fixé par écrit.

Documentation:

le somato-psychothérapeute doit constituer une documentation en bonne et due forme sur ses activités de conseil et thérapies;

les documents et notes de tous ordres concernant les atteintesthérapeutiques doivent être conservées au moins dix ans, pour les autres, le temps de conservation est de cinq ans;

les documents et notes de tous ordres, en particulier sur ordinateur, sont à sauvegarder suffisamment contre toute utilisation indue;

lors de la cession du cabinet ou de l’arrêt de l’activité professionnelle, les documents et notes sont à détruire en fonction des délais de conservation;

c’est seulement avec l’assentiment du client qu’ils peuvent être transmis à un collègue qui reprend le cabinet;

à la demande du client, le somato-psychothérapeute doit transmettre les documents et notes indispensables ou leur résumé à un collègue qui continue le travail de conseil ou de thérapie;

dans les cliniques ou autres institutions, dans lesquelles, lors du départ du somato-psychothérapeute, le traitement est continué, les documents et notes sont à transmettre au psychologue ou médecin remplaçant ou alors à laisser cachetées avec l’indication de ne remettte qu’à un futur remplaçant.

Utilisation et publication des données:

les faits, découvertes et résultats du travail de conseil ou de thérapie qui sont soumis au secret professionnel, ne peuvent être utilisés que de façon anonyme;

en cas d’absence d’anonymat suffisant, les faits, découvertes et résultats ne peuvent être utilisés ou publiés qu’avecl’assentiment écnt préalable du client. L’assentiment doit aussi mentionner la manière et le but de l’utilisation / publication des faits (publication scientifique par exemple) . En règle générale, on ne peut demander l’accord au client qu’après la fin de la thérapie.

SUPERVISION ET FORMATION CONTINUE

Le somato-psychothérapeute est conscient de la nécessité de faire superviser son activité thérapeutique dans un cadre adéquat.

Le somato-psychothérapeute veille à ce que des facteurs et influences personnelles ne puissent pas mener à un mésusage ou une fausse application de ses connaissances et capacités. Dès qu’il ressent de tels conflits, il cherche une aide professionnelle (une thérapie et / ou une supervision) pour les perlaborer. Le cas échéant, il faut décider si l’activité professionnelle doit être interrompue, restreinte ou arrêtée. Pour ces trois domaines, existe une réglementation spécifique que les somato-psychothérapeutes doivent observer, en particulier dans leur comportement envers les clients.

FAUTES : indépendamment d’une procédure juridique, les fautes contre les règles ci dessus seront poursuivies par le conseil d’ arbitrage de l ‘AIS , en fonction de ses statuts propres .


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Comment choisir son psy

Tout d’abord un point essentiel

La qualité et l’efficacité d’une psychothérapie dépendent en premier lieu de la relation entre le thérapeute et le client. N’entamez donc un travail, quel qu’il soit, que si vous sentez que la personne à qui vous vous adressez vous convient, et répond à la demande que vous lui faites. Si la première personne que vous rencontrez ne vous correspond pas, n’hésitez pas à en consulter d’autres. N’hésitez pas non plus à poser des questions sur ce qui vous semble important : méthodes utilisées, références du praticien, appartenance de celui-ci à un groupement, etc.

Comment chercher ?

Le bouche à oreille est souvent la première source, et elle est plutôt bonne. Des amis ou connaissances vous donneront l’adresse d’un praticien avec qui ils ont fait du bon travail. C’est un critère de qualité mais n’oubliez pas que le bon praticien pour X n’est pas forcément le bon pour Y. Votre médecin ou autre professionnel de la santé peut aussi être de bon conseil.

Si vous n’avez pas de piste naturelle, vous allez chercher dans les annuaires, ou par les moteurs de recherche. Soyez vigilants en ce qui concerne les annuaires « ciblés ». La plupart d’entre eux sont uniquement des entreprises commerciales qui répertorient ceux qui payent un abonnement, mais ne peuvent garantir leurs qualités professionnelles.


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EEPSSA

EEPSSA
Ecole Européenne de Psychothérapie Socio-et–Somato Analytique

Eepssa : 25 années d’existence, 1000 professionnels formés dans cinq pays européens, dont 600 en France. Une équipe de cinquante formateurs : psychiatres, médecins, psychologues, paramédicaux et artistes. Le Dr. Richard MEYER est psychiatre et membre de l’académie de médecine de Pologne. Il possède un doctorat en sociologie et ethnologie (Paris Sorbonne). Il a écrit douze livres et a créé trois nouvelles méthodes psychothérapeutiques : socio-somatanalyse (en groupe), psycho-somatanalyse (en individuel) et Présence Juste (pratique en solo). C’est à lui que nous devons le terme de « somatothérapie » qui regroupe les pratiques psycho-corporelles. Cette dimension corporelle, somato-, est à présent intégrée aux deux autres dimensions de l’être, psycho- et socio-, pour constituer une approche globale à la fois thérapique et analytique.

Psychothérapie et Analyse Intégrative
thérapies cognitivo-comportementales, systémiques, humanistes-transpersonnelles, psychanalytiques, psycho-corporelles en vue titularisation comme psychothérapeute selon loi française

Le Certificat Européen de Psycho- et Socio- Somatothérapeute
pratiquant la Psychothérapie et l’Analyse Intégrative en vue d’installation en libéral et vacations en institution

EEPSSA
Ecole Européenne de Psychothérapie Socio et Somato Analytique
42 rue du Général de Gaulle – 67640 Lipsheim-Strasbourg
Tél. : 03 88 68 56 54
Fax : 03 88 68 56 55
dr.meyer@eepssa.org
www.eepssa.org


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Psychothérapies et caetera

Psychothérapie intégrative, kesako ?

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