Les effets de l’esprit sur le corps ne sont plus à démontrer, à commencer par l’effet placebo largement connu et exploité dans le domaine de la santé.
- le médicament ne contient aucune substance active, mais on fait croire à la personne qu’il en contient, et il soigne la personne (personnel)
plus fort :
- le médicament ne contient aucune substance active, mais on fait croire au praticien qui l’administre qu’il en contient, et il soigne la personne (effet transpersonnel)
Certaines choses ne s’expliquent pas autrement que par la puissance de notre esprit, bien mal connue. De nombreuses expériences ont été menées, et les statistiques sont formellement parlantes : L’effet placebo peut désormais être observé et quantifié. Avec les progrès en imagerie cérébrale, les années 2000 ont également permis de repérer les zones du cerveau précisément touchées par l’effet placebo.
les chercheurs ont montré que l’effet placebo ne se limite pas à la douleur. Dépression, stress post-traumatique, TDAH, asthme, troubles cardio-vasculaires, maladie de Parkinson… Ses champs d’application ne cessent de s’élargir. (source https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/les-vrais-secrets-de-l-effet-placebo-51442)
Comment cet effet se déclenche-t-il ? Comment parvient-il à modifier profondément l’activité du cerveau ? Par quels rouages l’organisme se met-il à produire ses propres médicaments ? Et comment un placebo parvient-il finalement à atténuer – voire à faire disparaître – de si nombreux symptômes ?
Neurosciences, biochimie, génétique… Convoquées autour de ces questions énigmatiques, de nombreuses disciplines scientifiques commencent à livrer leurs résultats.
“L’effet placebo peut désormais être observé et quantifié” , énonce Pascal Tétreault, du département d’ingénierie biomédical, à l’université d’Alberta (Canada). Soulignant la matérialité de cet effet, pourtant basé sur un ressort psychologique, Ted Kaptchuk, professeur à la faculté de médecine de Harvard, insiste : “Les traitements placebo fonctionnent au travers de réseaux neuronaux et de neurotransmetteurs qui sont dans le cerveau, pas dans l’imagination.”
Il semble en être de même avec l’hypnose.
C’est sur ce principe que les hypnothérapeutes travaillent, et les resultats sont là.
Science, fake ou miracle ?
Par la relation d’empathie et de confiance établie entre le thérapeute et son patients, par la technique de modification des ondes du cerveau par l’hypnose (ondes alpha*), par l’intention positive du thérapeute, par le désir de guérir du patient, par les techniques de PNL de reprogrammation des croyances, par le savoir faire du praticien et par les mots qu’il utilise…
en un mot tout le rituel entourant un traitement a le don de déclencher dans le corps l’autoproduction de molécules thérapeutiques. Le cerveau active son pouvoir d’auto-guérison, le système immunitaire est stimulé, le cortext préfrontal s’active, l’amygdale libère des endorphines, les recepteurs de la douleur diminuent leur sensibilité, l’organisme se met à produire ses propres médicaments…
ce n’est pas dans l’imagination, c’est du réel.
*Ondes Alpha : fréquences 8 à 12 Hz, le stade entre veille et sommeil, relaxation légère, détente, veille calme = Etat Modifié de Conscience (EMC)** : niveau sophroliminal, transe hypnotique, rêve lucide.
les mots qui soulagent les meaux
L’hypnose peut apporter un mieux être considérable non seulement pour booster ses ressources mais aussi pour accompagner et soulager la plupart de meaux de l’esprit, et ceux du corps, lorsqu’ils sont provoqués par un blocage psychologique, énergétique, une loyauté familiale, transgénérationnelle, une croyance, l’histoire de vie, un traumatisme, la memoire corporelle, des enjeux relationnels…
Pour de bons résultats, respectueux de l’écologie du patient, efficaces et durables, l’hypnose est utilisée dans le cadre d’une pshychothérapie.
– confiance en soi, gestion des situations difficiles
– préparation mentale (études, apprentissages, examen, présentation orale, réunion …) ou physique (préparation sportive, rééducation)
– développement personnel, conscience de soi
– phobies (claustrophobie, agoraphobie, phobie sociale, peur des ascenseurs, du train, de l’avion, de l’eau …)
– états dépressifs, anxiété,
– stress, migraines, insomnies, cauchemars
– mauvais souvenirs, traumatismes
– TOC (troubles obsessionnel-compulsifs), tics, bégaiements, ongles rongées, cheveux arrachés et divers troubles du comportement
– préparation pré-opératoire (accouchement, dentisterie …) et suites post-opératoires (cicatrisation, gestion de la douleur, stimulation du système immunitaire…)
– lutte contre la douleur, douleurs chroniques
– soutien durant le traitement de longues maladies
– traumatismes (accident, décès, divorces…), victimologie, deuils
– problèmes familiaux, de couple
– travail sur les blocages dans les troubles sexuels, vaginisme, frigidité, troubles de l’érection, dysménorrhée et aménorrhée, énurésie, troubles de la fertilité
– troubles de l’alimentation, excès de poids, boulimie, anorexie
– addictions, tabagisme , alcoolisme
– symptômes psychosomatiques
– en outre l’hypnose peut apporter un mieux être dans la plupart des manifestations allergiques (non létales), des manifestations somatiques internes ou externes : gastriques, au niveau de la peau (psoriasis, eczéma, urticaire, prurit, pelade, verrues…) etc…
Cet accompagnement ne se substitue pas à votre suivi médical, qui doit constituer la première étape de votre parcours de soin.