Myriam de Maigret

Hypnose & Thérapie brève Ferrières en Brie 77


de admin
0 Commentaires

Les domaines de prédilection de l’hypnose

Les effets de l’esprit sur le corps ne sont plus à démontrer, à commencer par l’effet placebo largement connu et exploité dans le domaine de la santé.

  • le médicament ne contient aucune substance active, mais on fait croire à la personne qu’il en contient, et il soigne la personne (personnel)

plus fort :

  • le médicament ne contient aucune substance active, mais on fait croire au praticien qui l’administre qu’il en contient, et il soigne la personne (effet transpersonnel)

Certaines choses ne s’expliquent pas autrement que par la puissance de notre esprit, bien mal connue. De nombreuses expériences ont été menées, et les statistiques sont formellement parlantes : L’effet placebo peut désormais être observé et quantifié. Avec les progrès en imagerie cérébrale, les années 2000 ont également permis de repérer les zones du cerveau précisément touchées par l’effet placebo.

les chercheurs ont montré que l’effet placebo ne se limite pas à la douleur. Dépression, stress post-traumatique, TDAH, asthme, troubles cardio-vasculaires, maladie de Parkinson… Ses champs d’application ne cessent de s’élargir. (source https://www.science-et-vie.com/corps-et-sante/les-vrais-secrets-de-l-effet-placebo-51442)

Comment cet effet se déclenche-t-il ? Comment parvient-il à modifier profondément l’activité du cerveau ? Par quels rouages l’organisme se met-il à produire ses propres médicaments ? Et comment un placebo parvient-il finalement à atténuer – voire à faire disparaître – de si nombreux symptômes ?

Neurosciences, biochimie, génétique… Convoquées autour de ces questions énigmatiques, de nombreuses disciplines scientifiques commencent à livrer leurs résultats.

“L’effet placebo peut désormais être observé et quantifié” , énonce Pascal Tétreault, du département d’ingénierie biomédical, à l’université d’Alberta (Canada). Soulignant la matérialité de cet effet, pourtant basé sur un ressort psychologique, Ted Kaptchuk, professeur à la faculté de médecine de Harvard, insiste : “Les traitements placebo fonctionnent au travers de réseaux neuronaux et de neurotransmetteurs qui sont dans le cerveau, pas dans l’imagination.”

Il semble en être de même avec l’hypnose.

C’est sur ce principe que les hypnothérapeutes travaillent, et les resultats sont là.

Science, fake ou miracle ?

Par la relation d’empathie et de confiance établie entre le thérapeute et son patients, par la technique de modification des ondes du cerveau par l’hypnose (ondes alpha*), par l’intention positive du thérapeute, par le désir de guérir du patient, par les techniques de PNL de reprogrammation des croyances, par le savoir faire du praticien et par les mots qu’il utilise…

en un mot tout le rituel entourant un traitement a le don de déclencher dans le corps l’autoproduction de molécules thérapeutiques. Le cerveau active son pouvoir d’auto-guérison, le système immunitaire est stimulé,  le cortext préfrontal s’active, l’amygdale libère des endorphines, les recepteurs de la douleur diminuent leur sensibilité, l’organisme se met à produire ses propres médicaments…

ce n’est pas dans l’imagination, c’est du réel.

*Ondes Alpha : fréquences 8 à 12 Hz, le stade entre veille et sommeil, relaxation légère, détente, veille calme = Etat Modifié de Conscience (EMC)** : niveau sophroliminal, transe hypnotique, rêve lucide.

cerveau : ondes alpha

les mots qui soulagent les meaux

L’hypnose peut apporter un mieux être considérable non seulement pour booster ses ressources mais aussi pour accompagner et soulager la plupart de meaux de l’esprit, et ceux du corps, lorsqu’ils sont provoqués par un blocage psychologique, énergétique, une loyauté familiale, transgénérationnelle, une croyance, l’histoire de vie, un traumatisme, la memoire corporelle, des enjeux relationnels…

Pour de bons résultats, respectueux de l’écologie du patient, efficaces et durables, l’hypnose est utilisée dans le cadre d’une pshychothérapie.

– confiance en soi, gestion des situations difficiles

– préparation mentale (études, apprentissages, examen, présentation orale, réunion …) ou physique (préparation sportive, rééducation)

– développement personnel, conscience de soi

– phobies (claustrophobie, agoraphobie, phobie sociale, peur des ascenseurs, du train, de l’avion, de l’eau …)

– états dépressifs, anxiété,

– stress, migraines, insomnies, cauchemars

– mauvais souvenirs, traumatismes

– TOC (troubles obsessionnel-compulsifs), tics, bégaiements, ongles rongées, cheveux arrachés et divers troubles du comportement

– préparation pré-opératoire (accouchement, dentisterie …) et suites post-opératoires (cicatrisation, gestion de la douleur, stimulation du système immunitaire…)

– lutte contre la douleur, douleurs chroniques

– soutien durant le traitement de longues maladies

– traumatismes (accident, décès, divorces…), victimologie, deuils

– problèmes familiaux, de couple

– travail sur les blocages dans les troubles sexuels, vaginisme, frigidité,  troubles de l’érection, dysménorrhée et aménorrhée, énurésie, troubles de la fertilité

– troubles de l’alimentation, excès de poids, boulimie, anorexie

– addictions, tabagisme , alcoolisme

– symptômes psychosomatiques

– en outre l’hypnose peut apporter un mieux être dans la plupart des manifestations allergiques (non létales), des manifestations somatiques internes ou externes : gastriques, au niveau de la peau (psoriasis, eczéma, urticaire, prurit, pelade, verrues…) etc…

Cet accompagnement ne se substitue pas à votre suivi médical, qui doit constituer la première étape de votre parcours de soin.

Retour (cliquer ici)


de admin
0 Commentaires

Ce que je suis

Ce que je suis n’est pas qu’une sensation personnelle, mais ce que me renvoit l’Autre, l’image qu’il perçoit de moi, sa projection …

Et l’image que l’Autre a de moi n’est pas la même selon l’endroit où je suis, si je suis au bureau, en famille, avec des amis, avec mes enfants, au sport …

Si elle est différente, cela me met mal à l’aise, et cela peut générer du stress.

C’est la raison pour laquelle il faut aussi travailler sur l’environnement.


de admin
0 Commentaires

Les sept anneaux Reichiens

Le travail reichien est un travail corporel qui ne s’intéresse pas seulement à l’expression verbale ou symbolique (rêves, symptômes physiques ou psychiques, expression artistique…) des “représentants du symptome”,  mais aussi, et surtout, à l’expression du refoulé au travers du corps et de l’émotion.

 Un vaste ensemble d’exercices permettent de travailler de façon ciblée et personnalisée sur le système de défense de la personne :

  • sur la cuirasse musculaire à travers les sept anneaux caractéro-musculaires et les trois niveaux d’application (positions, actings, toucher, voix). Les positions s’inspirent des exercices bioénergétiques de Lowen et se font debout, allongé, assis, ou sur chevalet. Les actings s’inspirent directement de Reich et du travail de Navarro et mettent en oeuvre les anneaux musculaires. Le travail en toucher, ou “tactage”, s’inspire de Boyesen et s’applique aux niveaux épidermique, musculaire et osseux. Le travail vocal, ou voco-postural, est une proposition originale de Marie-Christine Piatkowski, artiste lyrique et musicothérapeute, qui a créé sept ensembles d’exercices alliant vocalisation, posture et visualisation, pour travailler sur les sept niveaux reichiens.
  • sur la cuirasse caractérielle à partir de l’analyse, le travail régressif, du dessin, des rêves.

Lire la suite →


de admin
0 Commentaires

Travail sur la voix

La voix que l’on peut écouter, apprivoiser, contrôler, laisser aller, exprimer, est un outil privilégié de connaissance et d’expression de soi.

Le « geste vocal » n’engage pas seulement les cordes vocales mais le corps dans sa totalité. Le corps étant le « point d’ancrage » de la voix ainsi que sa caisse de résonance : un corps crispé, tendu, ne laisse vibrer et s’exprimer qu’un son timide alors que dans un corps détendu et en confiance la voix peut devenir pleine et vivante.

Le cheminement de ce travail sur la voix mène à dénouer les liens qui nous limitent, à identifier, à délester (à se délester) la voix des tensions, des peurs, et ainsi laisse apparaître notre potentiel vocal et notre élan de vie.
Parfois, il emprunte les chemins du détour, passant par la voix que l’on aime ou celle que l’on n’aime pas, celle derrière laquelle on se cache, ou encore celle qui miraculeusement surgit et semblait depuis si longtemps inaccessible.

La voix nous exprime aussi dans ce qui ne peut s’exprimer, le non exprimé, ce qui est resté « en travers de la gorge », ce qui a été « ravalé », ce qui est non-dit ou refoulé. La plupart du temps nous avons une relation très ambigüe avec notre voix. Souvent nous pouvons dire ou croire qu’elle nous trahit, ou alors, nous ne l’aimons pas mais en fait elle ne nous trahit jamais car elle témoigne seulement l’émotion, l’ambiance intérieure du moment.

D’où l’importance de s’en faire une compagne de route, une alliée, d’y être à l’écoute, d’entrer dans une relation plus amicale avec elle et donc avec soi-même.

Ainsi écoutée elle devient un instrument privilégié de transformation, de confiance, de réconciliation avec soi et le monde.


de admin
0 Commentaires

Les thérapies psychocorporelles

Travailler sur le corps pour apaiser les maux de l’esprit et libérer nos émotions les plus enfouies.

Les thérapies psychocorporelles s”appuient sur le travail reichien (William Reich) et se basent sur le principe selon lequel nos souvenirs douloureux sont refoulés dans l’inconscient et enregistrés dans le corps. A la longue ils finissent par former une véritable cuirasse : “la cuirasse musculaire somatique”.

AInsi ce corps qu’on a pris l’habitude de maîtriser afin de se fabriquer une image derrière laquelle on se cache,  garderait la trace de nos blessures émotionnelles.

Alternant verbalisation du ressenti des émotions et travail corporel,  les différentes méthodes renouent avec l’importance du contact physique et décryptent les messages de la somatisation. Certaines privilégient la parole, d’autres favorisent la prise de conscience par le mouvement, le travail de la voix, le chant, la danse, la relaxation, ou encore par le massage.

Contrairement aux méthodes basées sur l’échange verbal, les thérapies psychocorporelles considèrent le corps et son langage comme une porte d’entrée vers le mieux-être.


de admin
0 Commentaires

L’attachement expliqué par Nicole Guédeney

Une conférence remarquable à visionner ou à écouter : la conférence de la pédopsychiatre Nicole Guédeney sur l’attachement.
http://youtu.be/Vg04KWHWH5o
Nicole Guédeney montre avec une clarté remarquable l’importance de l’attachement dans le développement du bébé et pour sa vie entière, ses liens avec le besoin d’exploration qui font que le bébé est d’autant plus assuré dans ses explorations qu’il a confiance dans sa base de sécurité. « La vraie autonomie, c’est savoir ce qu’on peut faire tout seul, et savoir quand on a besoin de soutien. » Cette autonomie fondamentale se fonde dans la relation avec la base de sécurité des premiers mois de la vie.

 

 


de admin
Commentaires fermés sur Réduire le stress : exercices

Réduire le stress : exercices

Réduire le stress et améliorer votre humeur : Exercices de restructuration cognitive

La restructuration cognitive est issue des Thérapies Cognitivo-Comportementales (TCC).

Utilisées lors des traitements des depressions, des boulimies et des troubles anxieux notamment.

Voici donc quelques exercices, faciles à reproduire chez soi, à l’aide d’une feuille de papier et d’un stylo, permettant de réduire les problèmes liés au stress, à l’anxiété et permettant d’améliorer et de stabiliser l’humeur

andrea zampattipicture-of-the-day-awww-yeah-flowers

Exercice 1 : Modifier la tendance de pensée automatique

Choisir une de vos distorsions cognitives. C’est quoi? C’est une tendance de pensée automatique.

Exemple : « j’ai tendance à toujours imaginer le pire », c’est à dire faire des prédictions negatives.

Pendant une semaine, constatez chaque fois que vous faites une prédiction negative : vous vous attendez à passer une mauvaise soirée, vous vous attendez à ce que votre patron n’aime pas votre idée, votre fils va encore être en retard, vous vous attendez à être trop fatigué pour faire de l’exercice….

Chaque fois que vous remarquez que vous faite une distorsion cognitive, demandez-vous quelles pourraient être les pensées alternatives. Pour reprendre notre exemple, vous pourriez vous demander quels pourraient être les autres resultats possibles à votre prédiction en 3 questions :

  1. Quelle est la pire chose qui pourrait arriver?
  2. Quelle est la meilleur chose qui pourrait arriver?
  3. quelle est la chose la plus realiste qui pourrait arriver?

Vous pouvez même preparer un petit tableau ;-)

 

Exercice 2 : Testez vos croyances

Prenez une croyance : « je n’ai pas le temps de prendre une pause » par exemple.

Pendant une semaine, vous vivez comme d’habitude et en fin de journée sans pause, vous évaluez votre productivité sur une échelle de 0 à 10.

La semaine suivante, vous prenez une pause de 5 minutes toutes les heures (par exemple), et en fin de journée, vous évaluez votre productivité selon la même échelle.

Il ne vous reste qu’à comparer… ;-)

 

Exercice 3 : Le pour et le contre

Prenez une croyance : « Je ne fais jamais rien de bien » par exemple.

Faites deux colonnes. La première colonne soutient l’idée que vous ne faites jamais rien de bien (colonne 1), la seconde contient les preuves objectives que cette affirmation n’est pas vraie (colonne 2).

Vous pouvez ensuite replire le tableau avec quelques pensée équilibrées qui reflètent précisément des elements de preuve.

Par exemple : colonne 1 « J’ai fait quelques erreurs qui me gênent » colonne 2 « Il m’est arrivé de faire de bons choix »

Vous n’avez pas besoin de croire complètement la colonne 2, l’idée est d’apprendre un mode de pensée alternatif.

 

Exercice 4 : L’auto-compassion

L’auto-compassion consiste à vous adresser gentiment à vous-même lorsque vous faites une erreur. Sans être spécifiquement un exercice de restructuration cognitive, l’auto-compassion produit les même effets.

Exemple : Vous avez fait quelque chose de stupide et habituellement, vous vous insultez intérieurement. Au lieu de ça, remplacer les insultes et autres noms d’oiseaux par cette phrase :

« J’ai fait une erreur, je m’en sent géné et j’apprend »

Au fil du temps, en remplaçant l’auto-critique par l’auto-compassion, vos pensées vont changer. Vous remarquerez que vous vous accepterez davantage et que vous serez plus cléments avec les autres.

Merci au Journal of Personality Psychology and social et au travail remarquable du Docteur Alice Boyes.


de admin
Commentaires fermés sur Compléter sa formation théorique en psychologie : les séminaires et conférences

Compléter sa formation théorique en psychologie : les séminaires et conférences

Il existe un bon moyen de se former régulièrement : il s’agit d’assister à des séminaires ou à des conférences.

Vous en trouverez dans tous les domaines, de l’entreprise à la clinique de l’adulte et de l’enfant.

Le prix varie mais certaines conférences sont ouvertes gratuitement au public. Les conférences permettent de vous tenir au courant des thèmes de réflexion actuels.
Dans le domaine de la clinique, sachez que certains hôpitaux (comme l’hôpital Sainte-Anne) dispensent, gratuitement, de façon régulière, des séminaires sur un thème annuel, discuté par un ou plusieurs professionnels de la psychiatrie. Certains de ces séminaires sont organisés et animés par des membres de la Société psychanalytique de Paris (SPP). Il s’agit d’un enseignement de grande qualité et facile d’accès : une chance à saisir pour ceux que cela intéresse.


de admin
0 Commentaires

La Gestalt

Sortir des blocages et des situations qui se répètent, découvrir de nouvelles réponses relationnelles.

La Gestalt permet d’acquérir plus d’aisance dans ses relations et d’améliorer son mode de communication.

La Gestalt est une thérapie émotionnelle qui met l’accent sur la conscience de ce qui se passe dans l’instant présent sur 4 niveaux:

  • émotionnel  et affectif
  • corporel
  • mental

Cette technique favorise le dialogue constant entre pensées, émotions et sensations corporelles. Le travail de prise de conscience et de réajustement concerne l’instant présent, l’ici et maintenant :

  • être présent à soi
  • être présent à l’autre
  • être présent au monde

Comment je rentre en contact avec moi et avec les autres, où se situe ma frontière contact avec l’autre et à quoi ressemble-telle ?

Comment j’évite les autres et quelles stratégies je mets en place à ce moment là.

 

La Gestalt fait partie de la famille des thérapies psychocorporelles, elle utilise souvent le jeu, le psychodrame,  la mise en scène des difficultés. Cet aspect ludique permet de comprendre l’origine de nos difficultés et d’expérimenter des pistes de solutions nouvelles. Elle se pratique dans des contextes et avec des objectifs très divers : en psychothérapie individuelle, en couple, en famille, en groupe, en entreprise.

 

 


de admin
0 Commentaires

L’Eepssa

  • Une approche intégrative
  • 40 formateurs psychiatres, médecins, psychologues, paramédicaux et artistes
  • Des enseignements expérientiels en petits groupes

L’Ecole Européenne de Psychothérapie Socio- et Somato-Analytique, dirigée par le Docteur Richard Meyer, psychiatre, et une équipe de quarante formateurs,  accueille ses élèves dans sept villes françaises et en Belgique.

 25  années d’existence, 1100  professionnels formés

Le Dr. Richard MEYER, qui est à l’origine et à la tête de l’EEPSSA, est psychiatre, ancien interne du CHU de Strasbourg, ancien médecin assistant de l’université de Lausanne et académicien. Il possède un doctorat en sociologie et ethnologie (Paris Sorbonne).

Il a créé trois nouvelles méthodes psychothérapeutiques : socio-somatanalyse (en groupe), psycho-somatanalyse (en individuel) et Présence Juste (pratique en solo). C’est à lui que nous devons le terme de « somatothérapie » qui regroupe les pratiques psycho-corporelles. Cette dimension corporelle, somato-, est intégrée aux deux autres dimensions de l’être, psycho- et socio-, pour constituer une approche globale du patient, à la fois thérapique et analytique.

De formation psychiatrique classique, Richard MEYER s’est initié à la psychanalyse au CHU de Strasbourg (Pr. Lucien Israel) et aux thérapies cognitivo-comportementales, stratégico-sytémiques et groupales à l’hôpital universitaire de Lausanne. Il a participé à l’effervescence des nouvelles thérapies psycho-corporelles, humanistes et transpersonnelles de l’après mai 1968, organisant une douzaine de congrès internationaux sur trois continents.